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Veillée du Syndicat | Soin et vieillesse | vendredi 9 février à la salle des fêtes de Gentioux-Pigerolles (23)

Les veillées du Syndicat sont des moments ouverts à toutes et à tous pour mieux connaître le Syndicat et ses actions. Ce vendredi 9 février, ce seront les groupes qui interviennent autour des questions de soin, de santé et de vieillesse qui présenteront leurs réflexions, actions et projets (groupe grand-âge et groupe de soutien psychologique, dit groupe « Psy psy »).

Après présentation des groupes, de leurs activités et questions du moment, un temps d’échange avec toutes les personnes présentes est prévu sur les liens entre le grand âge et ce qu’il peut amener de solitude et / ou de souffrances psychiques. En croisant nos perceptions nous pourrons imaginer des possibles qui amélioreraient la vie ici pour chacun.e !

Rendez-vous à 18h à la salle des fêtes de Gentioux-Pigerolles. On pourra dîner sur place avec un repas à prix libre.

Cet e-mail ne vous surveille pas

Les lettres d’informations et les autres mails du syndicat ne comportent pas de lien personnalisé.

Beaucoup d’entreprises et d’associations utilisent, pour leurs envois de mails, les services d’entreprises comme MailChimp (Californie) ou SendInBlue (Paris). Lorsqu’elles envoient une lettre d’info, chaque mail comporte des liens uniques qui peuvent permettre de savoir si le destinataire a affiché le mail, a cliqué sur un lien, sur quel ordinateur ou smartphone, à quel moment, à quel endroit, etc.

C’est l’industrie du profilage, du marketing et de la surveillance. Les structures reçoivent quantité de données sur leurs destinataires. Et les entreprises comme SendInBlue ou Mailchimp compilent bien sûr ces données pour analyser les comportements.

Le Syndicat de la montagne limousine ne fait pas comme ça. Ses listes mails sont gérées par le logiciel libre Sympa, installé chez la société coopérative Ouvaton. On ne s’amuse pas à regarder qui a lu quel mail quand, où et comment.

« Le Point » : le choix du mensonge

Droit de réponse envoyé au magazine « Le Point » le 22 mars 2023

Dans l’édition du 16 mars 2023 du Point, un article intitulé « Le choix de la violence », cite et met en cause le Syndicat de la Montagne limousine. Au titre du droit de réponse, nous souhaitons rétablir certains points :
1) Contrairement à ce que mentionnent les auteurs, Erwan Seznec et Géraldine Woessner, en indiquant que le Syndicat « n’a pas souhaité commenter », nous n’avons à aucun moment reçu une quelconque sollicitation des auteurs, que ce soit pas mail, par téléphone, ou par tout autre moyen, et nous n’avons donc pu à aucun moment « ne pas souhaiter commenter ».
2) Comme d’autres articles parus récemment, les auteurs fondent principalement leur propos sur le témoignage de deux personnes (Jouany Chatoux et Michel Moine) qui ne cessent de dénigrer les initiatives locales en les assimilant systématiquement et sans preuves à des faits dont elles ne sont pas parties prenantes. Accuser le Syndicat de la Montagne limousine, qui est une association conforme à l’article premier de la loi de 1901, d’être la « vitrine » des « écologistes radicaux » qui « ont déjà fait une croix sur le droit de propriété » est donc faux.
3) Ces deux « témoins » développent cette stratégie de dénigrement systématique sur les réseaux sociaux. Que votre journal reprenne leur propos sans vérification, sans recul et sans contextualisation est regrettable. Donner crédit par exemple à l’idée que « la base arrière des antibassines » est sur le Plateau de Millevaches est absolument ridicule à cause de son invraisemblance. Que quelques habitants locaux se rendent aux manifestations contre les bassines comme d’autres qui viennent d’un peu partout en France ne suffit pas à justifier une telle assertion.
4) Pour comprendre les ragots colportés par MM. Chatoux et Moine, il faut savoir qu’ils sont plutôt portés par le ressentiment. Que, par exemple, le second soit sous le coup d’une inculpation de faux en écriture publique, crime relevant de la Cour d’assises, est un élément qui permet de mieux comprendre leur stratégie d’attaque, bien plus que de crédibiliser leur propos.
Nous vous remercions d’apporter ces éléments à la connaissance de vos lecteurs que nous encourageons à venir découvrir notre belle région où ne se vit en aucun cas, comme le dit de manière totalement fantasmée Jouany Chatoux, « l’équivalent de la lutte antibassine en permanence », ainsi que les initiatives de notre syndicat.

Pour des forêts vivantes, il est temps de changer nos pratiques sylvicoles

Depuis plus de deux mois, des habitant·es du Plateau de Millevaches sont mobilisé·es pour empêcher la coupe rase du « Bois du Chat » , une forêt sur la commune de Tarnac. Un ensemble de personnalité·es appellent à faire évoluer la réglementation nationale. «Face à la catastrophe climatique et à la chute désastreuse de la biodiversité, les forêts sont nos alliées et il est urgent de reconsidérer la politique forestière dans son ensemble.»

Une tribune parue dans Mediapart le 4 mars. À lire en entier ici.

Mobilisation internationale en défense de l’eau et contre les « Méga-bassines »- Réunion publique le 11 mars à 18h30- Eymoutiers

Nota Bene: Suite à un couac de communication interne sur l’horaire, deux horaires ont été annoncés l’un à 18 h, l’autre à 19h… pour se rattraper autant que possible, nous commencerons la présentation de la lutte contre les méga-bassines à 18h30! et le point sur le week-end des 25-26 mars à 19h. Désolées pour le couac.

Ce samedi 11 mars à 18h30 aura lieu à Eymoutiers une réunion publique de mobilisation pour la manifestation internationale en défense de l’eau et contre les « méga-bassines » qui se tiendra les 25 et 26 mars prochains dans le Poitou. Le Syndicat de la Montagne Limousine appelle à cette nouvelle mobilisation comme il l’avait fait pour les précédentes. Lors de cette soirée nous présenterons l’actualité et les enjeux de la lutte contre les Bassines – ces méga-réserves d’eau destinées à l’irrigation des grandes surfaces céréalières industrielles dans les plaines de l’ouest- , mais aussi la mobilisation internationale en cours pour le 25 mars menée par les collectifs Bassines Non Merci et les Soulèvements de la Terre. Ce moment sera aussi l’occasion de s’organiser pour aller nombreux. ses se joindre à ce moment qui promet d’être historique depuis le Limousin.

Contre la coupe rase du Bois du Chat : la mobilisation se renforce, le chantier est toujours à l’arrêt

À Tarnac, des habitant.es sont mobilisé.es depuis maintenant 2 mois pour empêcher la coupe rase d’une forêt de feuillus. Le Bois du Chat est en passe de devenir le symbole des enjeux liés à la question forestière sur la Montagne limousine : en zone Natura 2000, sur les pentes fortement sensibles des bords de Vienne, cette forêt est destinée à être totalement rasée pour laisser place à une plantation de résineux. Une logique strictement financière, encouragée par les subventions du Plan de relance, qu’une large partie de la population n’accepte plus.

Le chantier est à l’arrêt depuis mi-décembre quand les premières alertes ont été lancées par quelques habitant.es de Tarnac découvrant le projet d’une coupe rase sur cette parcelle peuplée de chênes et de hêtres. Informé de la situation, le PNR Millevaches a fait une proposition à la propriétaire : 45000 euros pour laisser la forêt intacte en signant un contrat Natura 2000. Depuis la banlieue parisienne où elle réside, la propriétaire, qui possède sur le Plateau des centaines d’hectares, a refusé cette offre et décidé de passer en force. Lundi 13 février, la société Argil en charge du chantier a donc tenté de reprendre les travaux.

C’était sans compter la détermination du Comité de défense du bois du Chat (email, page Facebook). Dès 7h, une cinquantaine de personnes étaient présentes sur place pour empêcher le redémarrage du chantier et affirmer sa position : Non aux coupes rases de feuillus. Le rassemblement était pacifique, café et croissant accueillaient les bûcherons, eux-mêmes venus à contre-cœur sur ordre de leur patron. Les gendarmes présents n’ont pu que constater que l’impossibilité d’effectuer les travaux dans ces conditions, affirmant pour certains « partager nombre de [nos] convictions ».

Le lendemain, la préfecture de Corrèze publiait un arrêté interdisant le stationnement des véhicules sur toutes les routes et chemins menant au bois, invoquant un « risque de trouble à l’ordre public » et agitant désespérément la dérisoire menace de « l’ultra-gauche ». Pas de quoi affaiblir la mobilisation des habitant·es qui continuent à s’organiser joyeusement pour les veilles matinales malgré les rondes des gendarmes et les tentatives d’intimidation. Le combat se mène également sur le plan juridique car il y a des doutes sur la régularité du plan de gestion dont relève la parcelle.

Parce que le cas du Bois du Chat est emblématique d’une logique économique qui a déjà largement montré sa responsabilité dans la destruction des espèces et des milieux de vie, cette mobilisation est aujourd’hui relayée par de nombreux médias : en plus de la presse locale (La Montagne, France 3, France Bleu), des médias nationaux comme Mediapart, Reporterre, Canopée donnent une écho retentissant à cette lutte. En effet, s’il s’agit de « sauver le Bois du Chat », l’enjeu est aussi, depuis là, de faire évoluer la réglementation nationale et faire advenir des pratiques forestières respectueuses des humains et des milieux, comme c’est le cas chez nombre de nos voisins européens.

Méga-bassines: manif de fin de chantier!

Le Syndicat de la Montagne Limousine est signataire de l’appel à empêcher tout nouveau chantier de méga-bassine, ces réserves d’eau prélevée dans les nappes en hiver pour l’irrigation des cultures intensives de céréales. Après le Marais Poitevin, véritable laboratoire catastrophique de cet accaparement de la ressourcé en eau par l’agro-business, ces sont des centaines d’autres projets de bassines qui se répandent dans tout le pays. Une carte qui recense tous les projets connus vient d’être publiée.

https://reporterre.net/Guerre-de-l-eau-la-carte-des-bassines-contestees-en-France
L’appel « Pas une bassine de plus! »:

En cas de démarrage d’un nouveau chantier de méga-bassine, on l’arrête en masse le 3e week-end d’après

La sécheresse qui sévit une nouvelle fois sur le pays, notamment sur le marais poitevin, confirme dramatiquement l’ensemble des critiques développées par les opposant.es aux méga-bassines : inadaptation intrinsèque du modèle agricole dominant qui vise à démultiplier les bassines face à la crise climatique, impact sur les réseaux hydrologiques extrêmement fragilisés, pompage hivernal malgré des nappes qui peinent à se recharger !

Au vu de la contestation, le chantier test de Mauzé-sur-le-Mignon – 1ère d’une nouvelle série de bassines – a été un calvaire pour ses promoteurs, que ce soit pour l’État ou pour les irrigants organisés en société anonyme. Face au diverses actions menées  – rendez-vous hebdomadaires, envahissement du chantier, désarmement de plusieurs engins, mobilisations répétées de milliers de personnes – les difficultés de réalisation et les coûts de surveillance se sont démultipliés. Les irrigant.es et la Préfecture sont-ils vraiment prêts à voir ces coûts se reproduire à chaque nouveau chantier ? On peut en douter, d’autant que la présence et la pression policière qu’ils engendrent pèsent lourdement sur les riverain.es, qui constatent jours après jours, l’assèchement de leurs cours d’eau.

Pour le mouvement citoyen de contestation contre les méga-bassines, ce premier chantier a plutôt été un catalyseur qui n’a fait que l’amplifier et fortifier sa détermination. Ce mouvement assume aujourd’hui la nécessité de la désobéissance quand les crimes contre l’eau et les terres sont appuyés par le gouvernement. Il a pris une dimension nationale avec la défense et le partage du commun emblématique qu’est l’eau. Il travaille localement à d’autres projets de territoire alternatifs compatibles avec les enjeux climatiques. Dans le même temps, le protocole institutionnel de légitimation des méga-bassines n’a fait que se désagréger avec la sortie progressive des associations environnementales et de la fédération de pêche.

Manif de fin de chantier contre le méga-bassines

C’est l’antagonisme entre deux visions de l’agriculture et in fine du vivant qui s’est clarifié. L’une, agro-industrielle, qui cherche à en achever la marchandisation et la privatisation ; l’autre, paysanne, guidée par l’urgence absolue d’en prendre soin, de le mettre en partage et d’en maintenir la fertilité. Le dernier rempart du lobby agro-industriel tient à son mensonge structurel et à son chantage renouvelé sur sa prétendue nécessité pour nourrir le monde. Mais qui croit encore que l’on répondra aux besoins nourriciers des populations en continuant d’empoisonner les sols et d’assécher les nappes avec une agriculture auto-destructrice historiquement responsable de la disparition des paysan.nes à une échelle mondiale ?

Localement, les lobbys pro-bassines viennent de se voir infliger un désaveu réaffirmé. La cour d’appel a décidé mi-mai après plus de 10 ans de procédures de ratifier l’illégalité – du fait de leur impact environnemental – des 5 bassines mises en œuvre par l’ASA des Roches. Des opposant.es avaient pris les devants ces derniers mois. Deux de ces bassines avaient été préventivement démantelées, dont une le 6 novembre dernier par plusieurs milliers de personnes, tandis que la confédération paysanne revendiquait le démontage de sa pompe.


Mais le clan des pro-bassines, en plein déni de réalité, s’entête encore. Des méga-bassines continuent, à être planifiées en divers endroits du pays. Au moins trois démarrages de chantiers sont annoncés, possiblement à partir d’août, à Prière, Epannes et Sainte-Soline, peut-être d’autres dans la Vienne (86). La bassine en projet d’Epannes, dont un tronçon du futur réseau de canalisation a été démonté lors du printemps maraîchin fin mars, amplifierait les pompages sur le territoire voisin de la commune. Elle réduirait ses ressources en eau potable et mettrait en péril la tourbière du Bourdet. Nous ne pouvons envisager de les laisser faire !


Nous sommes à un moment charnière où nous devons unir nos forces à l’échelle nationale et internationale pour leur faire comprendre que chaque nouveau chantier aura un coût politique et économique ingérable. Puisque le gouvernement – pieds et poings liés avec l’agro-industrie et la FNSEA – malgré tous les effets d’annonce sur une éventuelle « planification écologique », reste incapable de prendre la décision – a minima – d’un moratoire, nous le mettrons en œuvre nous-mêmes.


En cas de démarrage de tout nouveau chantier de méga bassines, nous appelons à nous retrouver 3 semaines plus tard, plus massivement que jamais, pour manifester jusqu’au chantier et se donner les moyens de le mettre à l’arrêt. Nous resterons aussi longtemps qu’il le faudra et reviendrons aussi souvent que nécessaire.


Nous vous invitons d’ici là à faire connaître cet appel partout en France et au-delà, à en diffuser l’affiche sur les murs, dans les cafés, commerces et espaces associatifs, et à organiser des réunions publiques chez vous pour que chacun.e se tienne prêt.es à converger.


Pas un seul chantier de méga-bassine de plus. Agissons pour un juste partage de de l’eau. No Bassaran !

Pas une bassine de plus, manif de fin de chantier !

Télécharger l’affiche au format PDF

Premiers signataires :

• L’Action Antifasciste Deux-Sèvres 79

• Alerte Pesticides Haute Gironde

• Attac 17, 44, 85

• Beaumont en Commun

• Collectifs Bassines Non Merci (Berry, 16, 79, 86)

• CGT Nationale

• Colère Citoyenne 79

• Collectif Bordeaux En Luttes

• Collectif Bretage contre les fermes-usines

• Collectif Eau 88

• Eco Avenir

• EELV 86

• Extinction Rebellion Bordeaux

• Extinction Rebellion Nantes

• Génération.s 86

• GIGNV (ANV-Cop21 Nantes)

• GPIE 85

• Groupe d’Action France Insoumise Marennes Bourcefranc

• Il est Encore Temps Bordeaux (IEET)

• La clef des champs

• La France Insoumise 85, 79

• L’Antivol

• L’Eau qui mord

• Le Jardin l’Ephémère

• Les Amis de la Confédération Paysanne d’Alsace

• Les braises (Saint Emilion)

• Les désobéissants

• Les Soulèvements de la Terre

• NatürliF Prod

• NPA 79

• NUPES 17-01, 17-02, 79-01, 79-03, 86-02, 85-05, 85-03,

• Parti de Gauche 79, 37

• Parti Communiste Français 79

• PEPS (Pour l’Ecologie Populaire et Sociale)

• POI 79

• Rendez-nous la mer – Ar mor·Bro An Oriant

• Syndicat de la Montagne Limousine

• Terres et rivières 85

• Union Populaire Charente Nord/Est

• Union départementale Solidaires 79

• Union Solidaires National

• Vienne Insoumise 86

• Youth for Climate Angers

• Youth for Climate Nantes

https://lessoulevementsdelaterre.org/blog/pas-une-bassine-de-plus

Programme campement d’été du Syndicat de la Montagne Limousine

Lac du Chammet – Faux-la-Montagne – Du 29 au 31 juillet –

Vendredi 29 juillet

  • 9h30: Accueil ; Visite du lieu avec nos hôtes ; Organisation des trois jours ; Tour des propositions
  • 10h45: Ateliers : Atelier Journal du Syndicat ; Présentation du Syndicat ; actualités et perspectives…
  • 12h30: Déjeuner
  • 13h30 – 16h: sieste, ateliers, balades, baignade, jeux… – Ateliers : journal, systema…
  • 14 – 18h: Arpentage de plusieurs textes animés par le planning familial autour de la question des différents types de justice en dehors du système judiciaire officiel (sur les problèmes de violences sexistes et sexuelles) suivi d’un cercle de parole à propos de « faire justice ».
  • 16h -19h: Tables Rondes: – Énergie: Quelles énergies voulons nous? – Précarité, dèche, pauvreté… on peut faire quelque chose ensemble?
  • 19h30: dîner
  • 20h45: Projection du film sur le voyage d’étude autour des OACAS, lieux de vie et de travail pour les exilé.e.s, présenté par le groupe Exilé.e.s •21h30: présentations d’initiatives, luttes, groupes invités…

samedi 30 juillet

  • 9h30: Table Ronde – Débat – Accès à la terre: Agir face à l’urgence climatique, à l’accaparement foncier et forestier, à la crise des vocations agricoles: quelles stratégies et quels outils pour l’accès au foncier agricole et forestier: statuts, moyens, reprises , installations paysannes, sylviculture douce, réserves foncières locales… – Ateliers: journal, groupe exilé.e.s…
  • 12h30: Déjeuner
  • 13h30-16h: sieste, ateliers, balades, baignades, jeux…
  • 14h: – intervention théâtrale autour de l’auto- défense juridique. – atelier systema…
  • 14h : Les Sentinelles de l’eau (Groupe eau)
  • 16h-19h: Table ronde Droit d’asile local: Projet de lieu d’accueil multi-site pour les exilé.es sur la Montagne (Projet OACAS) – groupe exilé.es
  • 16h: Film introduit par le groupe éducation: « C’est d’apprendre qui est sacré » Delphine Pinson
  • 19h30: Dîner
  • 20h30: Présentations d’initiatives d’ici et d’ailleurs.

Dimanche 31 juillet

  • 9h30: Table Ronde – débat – Différentes échelles du politique: quelles stratégies pour nos formes d’organisation locales d’habitants? Rapport aux institutions étatiques, aux collectivités, aux élus, partis et aux élections / dans quoi s’inscrivent nos actions au-delà de la sphère locale ( campagnes, luttes nationales/ internationales)?
  • 12h30: déjeuner
  • 14h-16h: Ateliers: – journal du syndicat
  • Théâtre de l’opprimé – par « Et Toc! » –
  • 16h-18h00: plénière de fin: – Retours des tables rondes
  • Quelles alliances entre territoires, cadres d’actions, mutualisations, fronts communs de luttes?
  • 18h30: rangement, démontage, embrassades…

Garde des enfants prévue sur place

Camping, buvette, cantines, baignade sur place – inscriptions souhaitées : écrire à : syndicat-montagne@ilico.org

à imprimer et à afficher par chez vous :

Retours sur le printemps maraîchin contre les méga-bassines

Le Syndicat de la Montagne Limousine participait les 26 et 27 mars derniers à la mobilisation nationale contre l’accaparement de la ressource en eau par l’agro-industrie sur la commune de la Rochénard dans les Deux-Sèvres aux côtés de nos ami.e.s du collectif Bassines Non Merci, de la Confédération Paysanne et de tous les collectifs participant à la dynamique de lutte lancée par le mouvement des Soulèvements de la Terre.

Suite à cette mobilisation dont vous pouvez avoir un aperçu dans la dernière édition de BNM TV, la télé du mouvement contre les bassines, le groupe eau du syndicat participait à animer une discussion pour creuser les pistes d’organisation autour de la préservation de la ressource en eau et de la mobilisation des habitants sur cette question bien souvent accaparée par les lobbies et les spécialistes… retour en vidéo sur cette « assemblée des rivières » qui on l’espère trouvera bientôt des prolongements en termes de coordination des collectifs et associations travaillant sur ce sujet à l’échelle du bassin-versant de la Loire et au-delà.

BNM TV n°41 Le printemps maraîchin

L’assemblée des rivières – La Rochénard 27 mars 2022